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Les Errances Enjouées de Neus Amaëlle
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Les Errances Enjouées de Neus Amaëlle
  • Les fantaisies d'une petite littéraire bien entourée, en quête de sérénité dans un monde joyeusement chaotique, qui aime écrire, s'intéresse à plein de trucs & trouve que la vie, même si c'est un peu n'importe quoi, c'est drôlement chouette, quand même.
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24 juin 2011

Chronique : Funky Style Brass

Funky Style Brass au Bikini le 23 juin 2011


funky_style_brass

 

Chronique dispo sur Mygmusique => ici !


Deux jours après la fête de la musique, le Bikini organise une soirée spéciale pour fêter la sortie du deuxième album de ce groupe toulousain détonnant dans une ambiance 100% groovy !

Distribution de bandeaux scintillants type 70's, de colliers hawaïens, de chapeaux multicolores incongrus, de serre-têtes avec bois de renne en plastique intégrés et de coquilles d'huître numérotées : bienvenue dans le monde du Funky Style Brass ! On aura rarement vu un accueil semblable à l'entrée d'un concert ! Il n'y a là pourtant rien d'étonnant pour qui est familier du FSB : leur univers rappelle en effet celui inventé par Lewis Carroll... sauf qu'on y aurait enlevé l'aspect anxiogène pour privilégier le pur délire.

Sur scène, cette fanfare hors du commun composée de neuf musiciens déjantés est un véritable show. Un show assez indescriptible, certes, mais d'une énergie et d'une bonne humeur incroyables ! On peut admirer l'admirable éclectisme de leurs costumes de scène : outre "Lor-X" (un poussin géant chargé du chant et de la grosse caisse), la plupart arborent des pantalons, des robes et jupes complètement kitsch, associées (mais certainement pas assorties) à des hauts improbables, des lunettes absurdes et autres perruques flashy (à titre d'exemple, le chanteur/saxophoniste "Dem-X" se caractérise par sa perruque orange fluo façon Dragon Ball Z). Mais ce sont surtout des musiciens d'exception : issus du Conservatoire de Toulouse, ils mélangent les styles, multiplient les références et arrangent tout ça à leur sauce pour en faire une explosion dansante de bonne humeur, d'énergie et d'absurdité qui ravit petits et grands ("de 7 à 77 ans", précisent-ils sur leur site internet). Les paroles sont de véritables ôdes (non conventionnelles) à leur amour pour la musique et sont destinées à mobiliser le public, l'entraînant sans relâche à bouger, sauter et s'amuser - quand elles ne racontent pas des histoires absurdes dont la logique incertaine fait mouche : après la romance entre un âne et un lièvre sur le premier album, on trouve notamment parmi les nouvelles pistes l'histoire d'un fermier qui se retrouve face à un poulet de 128 kilos ("Mais tu tripes !").

Le public - des initiés à l'âge variable qui savent à quel genre de show de folie ils ont affaire, pour la grande majorité - se régale, s'adaptant à tous les styles manipulés avec brio par le FSB et se laissant entraîner avec délices dans leurs diverses chorégraphies approximatives et irrésistibles. Ainsi, tout au long de la soirée, on passe d'un style à l'autre, parfois au sein d'une même chanson : ouverture plutôt hip-hop avec "FSBeat", suivi de "La Traumatisation", plus latino, avant d'enchaîner sur du ragga, de l'électro ("A donde estàn?" - l'occasion pour de nombreuses filles du public de profiter de l'invitation du groupe qui scande "Mais où sont les filles ?" pour monter sur scène), du zouk ("Zouk de Gros"), du reggae, du rock, qui s'aventure même vers le hard-rock, du reggeaton, du méringue... le tout avec une prédominance toujours marquée du funk par l'omniprésence des cuivres (trompettes, saxophone, trombone et soubassophone). La salle tourne plus d'une fois au dancefloor incongru ("Tito Groove" ou "Stekdebich") - il serait en effet troublant de croiser un DJ portant sans aucun complexe une peluche de poule en guise de couvre-chef, ce qui ne semble toutefois ne perturber personne en cette folle soirée.

Vous l'aurez compris, un concert du FSB, c'est un concentré de musique, de danse, d'énergie et de bonne humeur qui vous amènera à rire avec vos voisins immédiats (et même à les embrasser sur "Sois gentil, fais-lui un bisou !" - les membres du groupe se mêlant au public pour l'occasion).

Comme ils le disent eux-mêmes : "Ce qu'on aime par dessus tout, c'est surtout vous rendre fou ! On peut vous rendre hystérique sur tous les styles de musique : ChaCha, Hip-hop, Funk, Reggae, Zouk, Dancefloor ou Meringue. Quand vous sortirez de là, vous serez tous traumatisés ! Avec un concept délire et des textes qui n'veulent rien dire, le Funky Style Brass vous fait oublier le pire, et vous redonne le sourire !" (paroles extraites de "FSBeat")

Nul doute que leur imagination débordante nous réserve encore bien des surprises... ! Essayé c'est adopté ! Avec une ambiance pareille, le FSB se fait de nouveaux adeptes à chaque représentation.

 

musiciens_fanfare_festive

 

"La légende du Dawak", Funky Style Brass, Merci pour les huîtres !

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Funky Style Brass, Extraits du DVD live (compris dans le second album Merci pour les huîtres !) ;

j'ai pu reconnaître dans l'ordre "Aquo Groovat", "Je peux pas la lire" et "Zouk de Gros" (mais il me semble qu'il m'en manque une xD)

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Funky Style Brass, entre autres craquages au festival Hestiv'oc, des extraits de : "Ragga des Chasseurs", "A donde estàn" (intro), "Sois gentil fais-lui un bisou", "Le Son du FSB", "Aquo Groovat", "Qui c'est qui veut du Reggeaton ?", "

 

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8 juin 2011

Le cabinet vétérinaire

De l'amour des animaux.

Depuis janvier 2007, je suis l'heureuse propriétaire d'une petite boule de poils prénommée Cookie - mais plus souvent affectueusement désignée par diverses périphrases attentionnées du genre "le tas" (devenu un véritable nom générique dans ma famille), "le petit rond", "ma crêpe" et autres absurdités qui me viennent spontanément à l'esprit lorsque je niaise sur mon cochon d'Inde (car oui, il s'agit en effet d'un cochon d'Inde, comme ses nombreux pseudonymes ne le laissaient pas entendre).

A vrai dire, même si c'est parfois un peu pénible de ne pas pouvoir partir en vacances sur un coup de tête sans s'être assuré que quelqu'un s'occupe bien de votre bestiole, je crois que j'aurais beaucoup de mal à vivre sans la compagnie d'un animal... Par exemple pour le Tas, je trouve ma chambre affreusement vide lorsque je le laisse chez mes parents (et vice-versa je trouve la cuisine parentale affreusement vide quand je l'ai laissé chez moi)... Faut dire que les cochons d'Inde sont des animaux domestiques particulièrement géniaux ! ça a toujours l'air de bonne humeur, c'est gentil comme tout, c'est rigolo, ça demande pas énormément d'entretien non plus, ça pue pas trop, et puis ça communique beaucoup - à grand renfort de "pouic", de petits cris et autres roucoulements (parce que oui, ça fait un genre de ronronnement, les cochons d'Inde... Par exemple, le mien adore les petits bruits métalliques, ce qui le fait ronronner à chaque fois que je secoue mes clés - et qui en fait probablement le seul cobaye à être fan des Velvet Underground : "Sunday Morning" le fait vibrer à tous les coups !). Ce que je trouve énorme, c'est qu'ils ont des têtes super expressives... Enfin bref, je ne vais pas m'étendre plus longtemps sur la génialité de ces animaux sinon j'ai pas fini de niaiser. Tout ça pour dire que j'adore prendre soin d'un petit quelque chose, et surtout d'un petit quelque chose qui paraît bien vivant et énergique - par rapport aux plantes, pour lesquelles je n'ai pas assez de patience... Autant dire que je risque de me sentir bien seule dans ma petite chambre étudiante de l'université de Reading où je passerai une année Erasmus à la rentrée prochaine (parce que oui, je pars en Erasmus à une demi-heure de Londres, haha :D)... ! Je me soupçonne de craquer et de m'y acheter un poisson rouge, d'ailleurs... Bref.

En fait j'adore me sentir responsable du bien-être d'une petite bête et je m'y attache très vite... au risque de prendre les choses très à coeur quand elle tombe malade. En ce moment-même, d'ailleurs, mon pauvre petit tas est en convalescence - et je vous avouerai que je suis très inquiète xD. ll a dû se faire opérer et j'étais bien évidemment dans tous mes états (le pauvre, depuis qu'il est rentré de chez le véto je passe mon temps à l'observer et à le harceler pour être sûre qu'il aille bien... autant vous dire qu'il doit être bien content quand je sors !). Mais un truc que j'adore quand je vais chez le vétérinaire, outre l'odeur si particulière de médicaments et de produits nettoyants - nettement plus apaisante, étrangement, que celle de l'hôpital, selon moi - c'est l'ambiance. J'adore y voir défiler les propriétaires et leurs petits malades.

Il y a bien sûr le fait que beaucoup de gens achètent un animal qui leur ressemble - personnellement, ma part Hobbit (niveau taille, appétit et jovialité) se retrouve admirablement bien dans les cochons d'Inde, ce qui n'est pas un hasard, à mon sens... Mais c'est surtout l'attachement des maîtres, aux petits soins pour leur truc poilu en mauvais état, qui est mis à l'épreuve dans la salle d'attente et je me laisse toujours attendrir par l'application qu'ils mettent à murmurer des petits "chuuuts" et autres mots doux aux futurs patients pour les rassurer - alors même que l'appréhension se lit parfois sur leurs propres visages. Et puis, il y a les caractères des animaux qui s'affirment : les chats qui râlent, enfermés dans leur cage ; les chiens, qui sortent de leur consultation en remuant la queue de soulagement, ne croyant pas à leur bonheur d'être enfin sortis ; et puis les petits rongeurs, tétanisés, qu'on devine à peine à l'intérieur de leur boîte de transport. Mais ce qu'il y a de formidable, dans cet endroit, c'est qu'on se sent soudainement très proche des gens. C'est limite l'endroit où on peut discuter le plus facilement avec un inconnu. Vous pourriez rencontrer un type qui n'a strictement rien à voir avec vous, ne partage aucune de vos convictions, méprise vos opinions et ne comprend rien à votre façon de vivre qu'il vous demanderait quand même : "Qu'est-ce qu'il a, le vôtre ?". Et vous voilà en train de raconter avec force détails comment vous avez remarqué qu'il n'allait pas bien, toutes les questions que vous vous êtes posées à partir de là et tous les malheurs de votre animal depuis ce funeste jour où il n'a pas terminé sa gamelle. Il complimente la gentillesse du vôtre, vous la beauté du sien. Et puis, on parle éventuellement des autres animaux qu'on a à la maison, ou qu'on a eus dans le passé. On évoque les différences entre tel et tel animal, les anecdotes amusantes, les pires bêtises... Au moment de sortir, on fait un sourire en passant devant le propriétaire du prochain patient duquel on gratouille éventuellement la tête (l'animal, hein). S'il n'y a personne avec qui discuter, en attendant son tour, on regarde la liste des "Noms en..." de l'année et on se demande ce qu'on aurait choisi et pour quel genre de bestiole. A côté des bancs, il y a toujours plein de documentations du genre "Les dossiers du bon maître", des posters qui répertorient les différentes races de chiens et chats et tout un tas de mini-médicaments qui évoquent des souvenirs de dînette-parties enragées...

En plus, le personnel est bien souvent épatant. Ils aiment les animaux ; ça se voit et ça se ressent. Non seulement toutes les secrétaires que j'ai rencontrées lors de ces occasions ne manquaient jamais de venir dire bonjour à ma petite boule de poils mais en profitaient aussi pour me parler de leurs animaux respectifs. Même au téléphone, elles sont attendries en prenant des notes pour le docteur : "il s'agit d'un petit... cochon... d'Inde... :)". J'adore les dossiers, les carnets de santé et les fiches d'identité des malades qu'ils prennent grand soin de classer (avec le nom, la date de naissance, tout ça...). Et ils demandent toujours des nouvelles de l'autre bête qu'ils ont soignée l'autre jour. Les vétérinaires aussi sont formidables. Sérieux, fermes et pourtant tout dévoués, probablement très gagas face à leurs animaux respectifs ("il a quel âge ce petit bonhomme ?").

En fait, ce que j'aime tant dans cet endroit, c'est que tout le monde est réuni pour une même raison et dans le même but : l'amour des animaux et le désir de bien faire. On a un peu l'impression que tout le monde retombe en enfance. Un gros costaud peut très bien arriver tout pâlot parce que son hamster s'est foulé une patte et se faire réconforter par une petite mamie qui venait justement faire vacciner son chihuahua. En plus, en matière d'animaux les gens admettent plus volontiers leur ignorance ou leurs erreurs (contrairement à l'éducation qu'ils peuvent donner à leurs enfants) et mettent plus volontiers leur ego de côté de peur que la vie de leur petit protégé ne soit en danger s'ils ne s'en remettent pas rapidement à quelqu'un de plus expérimenté qu'eux... C'est le meilleur de l'être humain qui est en fait mis en avant dans un cabinet vétérinaire : un attachement profond pour un être fragile, dépendant et encore plus éphémère que nous qui révèle une grande sensibilité. Sensibilité qu'on tente bien souvent de cacher du reste des hommes mais qu'on met plus facilement à nu devant un animal...

 

tas

... et en voyant des photos comme celle-là, on comprend mieux pourquoi !

 

Et pour la peine, j'ajoute la chanson préférée du tas (c'est qu'il a bon goût, le bougre !).

"Sunday Morning", The Velvet Underground, The Velvet Underground & Nico.

24 avril 2011

Propagande anti-tabac

En ce moment, je m'envoie en boucle l'album de San Severino Les Sénégalaises (un jazz manouche énergique et rigolo qui met de bonne humeur). Ma chanson préférée - avec "A l'enterrement de ma grand-mère" (étonnamment drôle... si si, je vous assure xD) et "André II" (avec le sympathique refrain qui scande "Aaaaarêtez de faire des manteaux avec la peau des animaux ! ♪") - s'appelle "La Cigarette". ça m'a rappelé que ma soeur, au moment où elle avait découvert San Severino, avait suggéré à mon pneumologue de paternel de passer cette chanson en boucle dans son service... ce qui n'est pas une mauvaise idée !

 

Du coup, comme

la cigarette, c'est MAL !

mais que vous le savez déjà et que j'ai pas envie de faire un discours moralisateur qui ennuierait tout le monde - moi la première - et puis qu'après tout, s'empoisonne bêtement qui veut, j'ai décidé de me contenter de faire une petite compilation humoristique qui traite du tabac (et qui sera nettement mieux que tout ce que je pourrais bien blablater dessus !)...

 

"La Cigarette", San Severino.

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"Je suis une cigarette", -M-.

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"La Cigarette", extrait du spectacle La Vie normale de Gad Elmaleh (2001).

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L'hilarant article "Drague Douce", tirée du blog de Pierrot : à lire en entier sur yap-yap-yap-yap.blogspot.com

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"Money, Mobile & Cigarette", Louw K. Photography.

 

(et donc si vous cherchez le nom d'un bon pneumologue, n'hésitez pas... :D)

19 avril 2011

Six Feet Under (+ The Maccabees !)

 

« Time doesn't tell the truth about our souls. Only Love.

We're all children when we truly love. »


Six Feet Under, Saison 3, Tears, bones and desire (épisode 8)

 

 

Plus une chanson que je me suis envoyée en boucle pendant tout l'après-midi et que je trouve triplement adaptée ici ; d'une parce que c'est tout doux tout mignon et faussement naïf comme un amour d'enfant ; de deux parce que le groupe s'appelle The Maccabees et que ça pourrait faire penser aux "macchabées", ce qui, dans le contexte d'une série qui se déroule dans des pompes funèbres, tombe plutôt à pic ; de trois, je sais, la réflexion qui précède n'est pas de très bon goût mais la génialité de la chanson ET du clip compensera cela sans problème :)

 

"Toothpaste Kisses", The Maccabees, Colour in It.

 

26 février 2011

Le yoyo affectif.

Nouveau craquage :

Les super concepts pertinemment indispensables et nécessaires à votre existence sur la vie made by myself.

 

Parce que je ne peux pas m'empêcher de créer des pseudo-néologismes farfelus (voire paradoxaux) pour qualifier le monde qui m'entoure et me fascine un peu plus tous les jours. Parce que, aussi, il faut savoir qu'on appréhende les choses par le langage et que donner un nom aux choses permet d'avoir un semblant de contrôle (illusoire, certes, mais c'est un début !) sur les événements - ou bien de les identifier plus facilement... Dans tous les cas je trouve ça rassurant !

BREF.

Le premier sera donc... (parce que oui, j'adore la logique donc je commence par un truc en "Y")

 

Yoyo affectif (le) : expression désignant l'état de quelqu'un de sensible capable de passer d'un sentiment à l'autre (parfois son contraire) en très peu de temps. Cette notion est à rapprocher de l'acceptation du sujet de sa propre sensibilité, toujours changeante puisqu'en perpétuelle évolution, comme le veut l'impermanence (concept bouddhiste qui dit que tout est éphémère, et en particulier notre "moi", qui n'a pas d'essence propre mais est vu comme une succession permanente d'états différents).

Exemples d'utilisation : "P****n, j'ai encore joué au yoyo affectif hier..." ou "Tiens, et si je faisais le yoyo affectif aujourd'hui ? ça fait longtemps !". (Remarquez qu'en statut facebook, ça passe super bien aussi : "Victime du yoyo affectif...". Niveau désenchantement mystérieux, ça jette du bois !)

Le mauvais côté : le yoyo est la plupart du temps soit tout en haut, soit tout en bas ; d'où un juste milieu difficile à atteindre... (et c'est souvent très fatigant)

Le bon côté : quand le yoyo est en bas, il ne peut que remonter ! (comme l'illustre parfaitement bien la chanson des Hives ci-dessous :D) (et puis faut bien dire qu'on ne s'ennuie pas !)

 

The Hives, "Try It Again", The Black & White Album.

 

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25 février 2011

... et comment s'en remettre.

... MAIS parce que je suis gentille et de nature optimiste (mais si, mais si), je vous propose également THE remède pour se remettre de la sale rupture ! Et ce, avec quatre autres chansons :

 

"Le 115", Bénabar & Associés, La p'tite Monnaie.

Parce que là plus que jamais il est important de garder le sens de l'humour... :p

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"My Favourite Game", The Cardigans, Gran Turismo.

Parce qu'il est important et sain (ou pas) de tout rejeter sur la faute de l'autre en se disant qu'on voulait le changer pour son bien et qu'on est un/e saint/e.

(au passage, vous comprendrez en lisant les paroles de cette entraînante chanson qu'il est bon de tirer une meilleure leçon que ça d'une relation qui a foiré !)

Et aussi parce que, qui ne rêve pas de faire un clip (inutile, certes) au volant d'une super décapotable ?

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"Plastik Heart", Dirty Pretty Things, Romance at Short Notice.

Parce que son pseudo ton léger fait du bien et parce qu'un jour on aura envie de passer à autre chose.

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"I Will Survive", Gloria Gaynor.

Parce que c'est la must du must sur les ruptures et qu'elle est tout simplement jouissive.

(pour info, vous pouvez aussi aller voir la vidéo suivante, trésor du web, qui transpose la chanson dans un contexte autre pour le moins décalé... -> I will survive )

 

25 février 2011

Bad break-up

Puisque c'était la Saint Valentin y'a pas longtemps, j'ai trouvé à propos de vous proposer quatre chansons sur le thème de l'Amour... et plus particulièrement de la rupture :D

Rassurez-vous, certaines chansons ne sont pas tristes pour autant - et elles valent le détour, en toute subjectivité bien sûr !

 

"D'yer Mak'er", Led Zeppelin, Houses of the Holy.

Avouez, vous voyez pas des cocotiers se balançant gaiement dans le vent insulaire quand vous écoutez cette chanson ? Le gars parlerait pas de larmes et d'âme blessée tout en implorant sa bien-aimée de revenir, j'aurais jamais pensé qu'on y parlait de séparation !

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"Pas Assez de Toi", Mano Negra, Puta's Fever.

Le clip est sympa et puis les paroles sont vraiment exorcisantes, quand même :D


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"La rue Calumet", Merzhin, Merzhin Live.

En live c'est encore mieux *.* ça donne envie de danser !

(et avouez qu'après avoir écouté cette chanson on est quand même CONTENTS d'avoir rompu, si on se retrouve dans les paroles :D)


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"Uno", Muse, Showbiz.

(dans la série "je dis que j'en ai rien à foutre tout en cachant l'hémorragie") De la génialité musesque, comme toujours !

 

12 décembre 2010

Mystery Jets



Groupe indie londonien, assez atypique, et qui gagnerait à être mieux connu !
J'aime beaucoup leur look décalé (si mes souvenirs sont bons ils brillaient littéralement de mille feux quand ils sont montés sur scène la première fois que je les ai vus, en première partie des Kooks... xD). Leur style musical est lui aussi assez "décalé" avec pas mal d'influences 80's. Je trouve qu'ils diffusent l'énergie et la bonne humeur ! Leurs textes sont assez fins ("Young Love", "Flakes", "Hand me down" sont celles qui me viennent spontanément en tête), sans toucher à des sujets très recherchés non plus - de toute façon ça colle bien avec leurs mélodies jouissives comme "Two Doors Down", par exemple ^^).

 

Le premier album (Making Dens) m'a demandé un temps d'adaptation pour vraiment l'apprécier - l'ambiance est assez mélancolique, même si mes préférées de celui-ci sont les plus péchues (on se refait pas, que voulez-vous !).
Genre :

"You Can't Fool Me Dennis", Mystery Jets, Making Dens.

A écouter aussi : "Purple Prose" et "Soluble in Air".
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Le second, par contre, est génial de bout en bout !
Sur les trois albums je conseillerais vraiment Twenty One pour découvrir (et aimer :D).




"Young Love", Mystery Jets, Twenty One.

(j'adore ce clip, pour les couleurs comme pour la vague absurdité régnante... ^^)
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"Two Doors Down", Mystery Jets, Twenty One.
(esthétique et "choré" trop drôles xD)


A écouter aussi : "Hideaway", "Half in Love with Elizabeth" et "Flakes" (très planante, dont j'aurais bien choisi de publier le clip si les deux autres que j'ai déjà regardés étaient pas nettement plus funky)
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Serotonin, sorti en juillet dernier, file pas mal la patate aussi !


"Serotonin", Mystery Jets, Serotonin.

J'adore surtout la chanson titre qui me donne toujours envie de hurler le refrain avec le chanteur, mais d'autres comme "Flash a Hungry Smile", "Alice Springs", "Lady Grey" ou "Dreaming of Another World" sont vraiment sympathiquement rétros aussi !

 

15 novembre 2010

C'est dans la tête...

Quatre chansons à ne pas avoir dans la tête et à ne pas chantonner dans la rue.

(parce que ça fait un peu mauvais genre, quand même...)

 

"Bad Things", Jace Everett, Red Revelations.

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"Do You Wanna?", The Kooks, Konk.

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"Décapote", La Patère Rose, La Patère Rose.

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"La La Love You", Pixies, Doolittle. (surtout pour la partie sifflée...)

4 novembre 2010

Pixies

 

Je pense que je n'ai pas réellement besoin de présenter ce groupe, tout le monde a déjà entendu la ultra célèbre "Where is my mind?" utilisée comme générique de fin de Fight Club et reprise par des tonnes d'artistes (Placebo, Nada Surf, James Blunt, et sûrement plein d'autres encore... toutefois, si vous ne connaissez pas la version instrumentale au piano de Maxence Cyrin, elle est vraiment (VRAIMENT) magnifique et vaut le détour !)
CECI DIT, comme ils passaient au Bikini (la meilleure salle de concert de la ville, à la meilleure programmation... une des multiples raisons d'adorer Toulouse, si vous voulez mon pertinent avis !) en mai dernier, et que j'avais décidé qu'il était inconcevable de manquer une opportunité pareille, j'ai eu l'occasion de mieux écouter et d'aller plus loin que leur gros tube et la génialement mignonne "Here comes your man" que je connaissais déjà pour me plonger dans leurs albums et j'avoue que c'est réellement devenu un de mes groupes phare - d'ailleurs, j'écris cet article en partie pour mon amie la Bougie, qui doit en avoir marre que je lui parle des Pixies à tort et à travers alors qu'elle n'a jamais réellement écouté !

Quelques pistes pour découvrir...

Pour une très vague présentation (mieux vaut aller voir l'article de Wikipédia ou mettre son nez dans une encyclopédie sur le rock pour avoir plus de détails, je n'ai pas la prétention de dire que je connais tout d'eux, bien au contraire, la plupart du temps je me contente d'aduler aveuglément la musique sans même savoir d'où viennent les membres du groupe qui la jouent xD) :

Les Pixies (soit quatre membres, dont le leader Frank Black a fait pas mal d'albums solos que je n'ai d'ailleurs pas encore écoutés :O) sont originaires de Boston et se sont formés en 1986. Ils se sont séparés en 1993 puis reformés en 2004 - sûrement pour l'aspect financier, faut dire qu'il faut se battre pour avoir des places de concert... Après, j'avoue me ficher complètement des raisons qui font qu'ils jouent sur scène, leur musique reste géniale. On retrouve beaucoup d'influences différentes et Kurt Cobain dira souvent que son groupe leur devait beaucoup.

Mon album préféré reste Doolittle (2e album, sorti en 1989) mais j'avoue que tous les autres sont super aussi et que je me suis récemment surprise à écouter en boucle Bossanova, soit celui qui me transcendait le moins jusque-là ! Je pense quand même que Doolittle est le plus "abordable" quand on ne connait pas...

 

 

 "Caribou", dépaysante, issue du mini-album Come on Pilgrim

(sorti avant Surfer Rosa - sur lequel figurent notamment "Where is my mind?", "Gigantic", "Broken Face" et "Break my Body" - les deux ayant été par la suite regroupés sur un même album).

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 Le live de "Hey" (ô combien génialissime !) au Bikini - une de mes chansons préférées, tirée de Doolittle.

A écouter aussi en priorité : "Debaser" (dont le refrain redoutable au sens néanmoins mystérieux "I AM UN CHIEN!" n'en finira jamais de me transcender), "Wave of Mutilation", "Here comes your Man", "Monkey gone to Heaven", "La La Love You" et "Gouge Away".

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"The Happening", planante...

A écouter aussi sur Bossanova : "Cecilia Ann", "Rock Music", "Velouria", "Allison", "Dig for Fire" et "Havalina".

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"Planet of Sound", sur Trompe le Monde. (qu'est-ce que je donnerais pas pour la revivre en live ! *.*)

A écouter aussi : "Alec Eiffel", "Head On", "U-mass", "Bird Dream of the Olympus Mons" et "Letter to Memphis".



Note : ne pas s'arrêter aux illustrations quelque peu étranges des albums xD

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